Les activités du club menées en 2019- 2020

espace de biodiversité septembre 2019

 

  • Septembre 2019: Présentation des activités prévues pour l’année  scolaire  

C’est reparti pour une nouvelle année, au club « agir pour la biodiversité » (club CPN) on apprend tout en s’amusant !

Le groupe composé de 15 apprentis éco-citoyens curieux de nature ( élèves de 6 ème et 5 ème dont 8 ont déjà participé l ‘an dernier) est encadré par Estelle Roland professeure de SVT et Patrice Charles  technicien de maintenance au collège.

IMG_6234
La nouvelle team  !

-Découverte des activités prévues pour l’année scolaire. La météo défavorable ne nous a pas permis de commencer nos activités à l ‘extérieur.

IMG_6231

La mare se porte bien 🙂IMG_6190

septembre 2019

Sciences participatives Vigie-Chiro :

Vigie-Chiro est un suivi des chauves-souris communes lors de leurs activités de chasse et permet d’évaluer leur état de santé. Nous avons posé un enregistreur AudioMoth près de la mare qui permet d’enregistrer les ultrasons des chauves-souris durant une nuit.

La France compte 34 espèces de chauves-souris. Elles utilisent leur ouïe pour se repérer la nuit ou au crépuscule. Cette capacité, appelée l’écholocation, fonctionne comme un radar : les chauves-souris émettent des sons qui sont renvoyés par les objets qui les environnent sous forme d’un écho.

Les sons utilisés par les chauves-souris sont des ultra-sons, c’est-à-dire qu’ils sont trop aigus pour que l’oreille humaine les perçoive.

Chaque espèce de chauve-souris émet des cris possédant des caractéristiques propres (la fréquence, l’intensité et la durée du cri), qui nous permettent de déterminer l’espèce de chiroptère dont il s’agit.

L’analyse des données (envoyées au muséum d’Histoire naturelle à Paris) permettra de connaître les espèces de chauve-souris présentent dans notre environnement.

IMG_6208
enregistreur à ultrasons posé près de la mare

 

  • Octobre 2019: Visite du jardin de plantes médicinales des jardiniers de Maubeuge situé à la ferme du zoo.

Après quelques explications en salle, les élèves ont pu se rendre dans le jardin pour découvrir quelques plantes médicinales ainsi que leurs vertus grâce aux explications et anecdotes données par Cécile Sobieski et Marie Despuyos.

Les élèves ont pu observer les plantes suivantes : la Chélidoine, le plantain, la grande consoude, la camomille, la valériane, l’achillée millefeuilles, le coreopsis et l’hysope.

Voici quelques vertus :

La chélidoine : utilisée pour soigner les verrues d’où l’appelation populaire d’herbes à verrues.

Le plantain : soulage les piqûres d’orties, effets bénéfiques contre des maux très divers des voies aériennes ou de la peau.

La menthe : réputée pour traiter les problèmes digestifs et pour ses vertus antiseptiques et tonifiants.

-La grande consoude : participe activement à la guérison des entorses et fractures.

La camomille : connue pour ses vertus sédatives, apaisantes et anti-inflammatoires

La lavande : prisée pour des problèmes de nervosité, digestifs ou articulaires

-La valériane : reconnue pour soulager la nervosité et l’anxiété et pour ses propriétés inductrices de sommeil.

L’achillée millefeuilles : utilisée pour lutter contre les troubles digestifs, la perte d’appétit, soigner des plaies ou encore stopper les saignements.

L’hysope : utilisée comme expectorant, un antiviral ou un anti-inflammatoire.

Un grand merci à Marie Despuyos et Cécile Sobieski pour ce moment de partage et  leur accueil chaleureux.

 

  • Octobre 2019: Chantier nature réalisé sur le site des marpiniaux à Marpent 

Toute l’équipe du club s’est mobilisée le mardi 15 octobre pour réaliser un chantier nature sur le site des portes des marpiniaux à Marpent, encadré par Denis Lagache animateur pédagogique de l ‘association « les Blongios ».

Les élèves de la classe nature du collège Charles de Gaulle de Jeumont étaient également présents pour réaliser ce chantier. Ce sont donc deux clubs CPN qui se sont réunis pour agir en faveur de la biodiversité.

Cette action « recépage de ligneux en prairie humide » consistait à couper les jeunes saules qui envahissent la prairie humide autour d’une mare afin de laisser passer la lumière et de préserver la biodiversité autour d’une mare.

Les castors juniors ont sorti leur huile de coude pour scier, couper, ramasser puis transporter les résidus de coupes, en suivant les consignes de travail et de sécurité.

Le travail accompli est remarquable et le résultat impressionnant.

Au cours de ce chantier nous avons fait de belles rencontres : triton alpestre et grenouilles rousses sont venus nous narguer. Il est interdit de prélever, de capturer les amphibiens. L’animateur, étant habilité, a pu le faire pour apporter des explications.

Par le biais de ces activités, les éco-apprentis ont pu développer des compétences sociales et civiques : « autonomie, initiative, respect, travail en équipe » aussi acquérir des connaissances sur la biodiversité et des savoir-faire « utiliser du matériel adapté ».

Une très belle journée qui s’est déroulée dans la joie et la bonne humeur malgré une météo capricieuse. Motivation, courage, sérieux organisation et plaisir étaient à l’ordre du jour pour réaliser ces activités.

Une très belle expérience à renouveler ! 😊

 

  • Novembre 2019: Pêche dans la mare et nettoyage des nichoirs à mésanges

– Détermination des espèces prélevées:

Une pêche dans la mare a pu être réalisée (dans le respect du milieu et des êtres vivants) afin de déterminer les espèces présentes en ce début d’automne.

A l’aide de fiches d’identification de la FCPN « les petites bêtes de la mare », nous avons pu observer et reconnaître plusieurs espèces : Limnées, aselles, diverses larves (de libellule vraie, de demoiselle, d’éphémère, de chironome, chaoborus « larve de cristal »), notonectes, ilibius et daphnies.

fiche Identification ptites betes de la mare (1)

En fin de séance les petites bêtes ont ensuite été remises à l‘eau. Depuis sa création  il y 5 ans, la mare foisonne de vie.

-Nettoyage des nichoirs: un petit travail d’automne !

Il est nécessaire de nettoyer les nichoirs à oiseaux pour préparer leur nouvelle venue et bien sûr les nouvelles nichées.  Il faut enlever les nids de l’année précédente et brosser l’intérieur des nichoirs. Le nettoyage prévient les risques de maladies et les invasions de parasites.

 

Malgré une météo capricieuse, entre averses et éclaircies, l’activité s’est passée dans la joie et la bonne humeur . De belles découvertes pour les élèves 🙂 

  • Novembre 2019: Birdlab et fabrication de mangeoires pour les oiseaux 

C’est parti pour la 6 ème saison de Birdlab.

Birdlab est un jeu scientifique pour comprendre la biodiversité plus particulièrement la stratégie de nourrissage des oiseaux.

Après avoir téléchargé l’application BirdLab, le statut de joueur est obtenu en effectuant quelques quiz d’identification des espèces d’oiseaux des jardins. On apprend ainsi à reconnaître 27 espèces d’oiseaux les plus connues.

L’expérience scientifique peut alors démarrer. Face aux deux mangeoires garnies de graines de tournesol installées devant la fenêtre de la salle de SVT, on reproduit sur l’écran tactile les déplacements des oiseaux sur les mangeoires en temps réel pendant 5 minutes. Les parties peuvent ainsi s’enchaîner . Une belle occasion de les observer de près …

Plus il y aura de parties réalisées, plus les scientifiques pourront comprendre la répartition des oiseaux communs dans les jardins en hiver et leur organisation pour se partager la nourriture.

Voir le lien : https://www.mnhn.fr/fr/explorez/applications-mobiles/birdlab

Merle, mésanges charbonnières, mésanges bleues et pies ont été observés durant ces parties de jeu.

Nous avons également  installé une autre mangeoire plateau munie d’un toit, près de la mare pour nourrir les oiseaux.

  • fabrication de mangeoires pour les oiseaux 

L’hiver s’installe doucement, c’est la saison la plus meurtrière pour les oiseaux qui résistent moins bien au froid en raison du manque de nourriture et d’eau.

À titre d’exemple, on peut citer le Verdier d’Europe, le Moineau friquet et le Chardonneret élégant, dont les populations ont chuté respectivement de 42% depuis 1989, de 60% sur le 10 dernières années et de 33% depuis 1989 . ( info de la LPO).

Il est donc nécessaire de leur apporter une nourriture d’appoint .

Deux types de mangeoires ont été fabriquées avec du matériel de récupération                    ( bouteille en carton et boîte à café) . Les élèves pourront les installer dans leur jardin.

Mangeoires à trémie: Nous avons suivi le protocole de la fiche CPN suivante : creer-une-mangeoire-a-tremie_1481813649

 

Mangeoires « boîte à café « nous avons suivi le protocole sur ce lien : mangeoire  « boîte de conserve »

 

SAM_4660

Ces jolies mangeoires pourront être installées dans le jardin des graines d’éco-citoyens ! 🙂

 

  • Décembre 2019:  Birdlab , construction d’autres mangeoires et de boules de graisse pour les oiseaux

-D autres mangeoires à trémie avec une boîte en carton type brique de jus de fruit, ont été fabriquées afin que chacun ait sa mangeoire à installer dans son jardin.

Quand vient l’hiver, se nourrir devient plus difficile pour les oiseaux sauvages. Ces derniers habitués à un régime alimentaire insectivore doivent trouver une nouvelle source de nourriture. Ils deviennent alors granivores. Pour les aider à passer l’hiver, nous avons confectionner des boules de graisse.

Boules de graisse : 1kg de végétaline et 750 g de graines. Nous avons suivi le protocole fiche CPN « nourrir les oiseaux l’hiver ».

voir le lien:  nourrir les oiseaux CPN

Il n’est pas conseillé de leur donner de la graisse animale, il faut privilégier plutôt les graisses d’origine végétale.

Attention, il est déconseillé de mettre un filet car celui-ci pourrait piéger les pattes et le bec des volatiles et les blesser.

15 boules de graisse ont pu être confectionnées.

Durant la séance, toutes les 5 minutes, les élèves se sont relayés pour réaliser une partie de Birdlab de 5 minutes. Mésanges bleues, merle noir, pie bavarde, rouge gorge, pinson des arbres ont pu être observés sur les mangeoires plateau.

 

  • Décembre 2019:  Taille de la haie de charmille, tressage du carré à orties, installation des boules de graisse pour les oiseaux

Nous avons profité de cette météo clémente pour un mois de décembre pour réaliser les activités à l’extérieur !

  • Taille de la haie de charmille :

Le charme (Carpinus betulus) est un arbre aux feuilles caduques , présentant un feuillage marcessant, qui brunit pendant l’hiver pour tomber au printemps .

Notre haie de charmille a été planté il y a  4 ans.

Principe de la taille :

  • Favoriser les pousses sur la hauteur
  • Couper les têtes à la hauteur désirée
  • Palisser les branches sur la longueur
  • Couper les branches qui dépassent pour égaliser le tout.

 

 

  • Tressage autour du parc à orties :

L’ortie est une plante très appréciée par de nombreux papillons. Les femelles y pondent leurs œufs puis les chenilles une fois écloses se nourriront sur la plante dont elles sont friandes. Il est donc tout particulièrement intéressant de conserver un petit carré d’orties dans son jardin qui accueillent la ponte de nombreuses espèces de papillons (paon-du-jour, Robert-le-diable, carte géographique, vulcain, petite tortue, Belle-Dame).

Pour délimiter ce carré d’orties, nous avons réalisé un tressage à partir de branches prises sur le terrain (branches de noisetier pour réaliser les piquets, branches de saule pour le plessis).

Le tressage est esthétique mais il permet aussi de servir d’hôtel à insectes !

Les piquets de 50 cm sont enfoncés de 10 cm dans le sol.

Protocole :

  • À 3 cm du sol, passer la 1ère tige de saule alternativement à l’intérieur et à l’extérieur du futur carré.
  • Commencer avec un bout fort à l’extérieur du piquet d’angle, terminer par un bout faible à l’intérieur du piquet d’angle suivant.
  • Veiller à inverser le sens des tiges à chaque passage, pour que l’ensemble reste bien régulier (mettre un bout faible au-dessus d’un bout fort).
  • Tasser les différents étages pour que la terre ne puisse pas s’échapper.
  • Monter le tressage jusqu’à une hauteur de 30 cm.
  • Couper l’extrémité des tiges à l’aplomb du piquet.

 

Activité qu’ il faudra poursuivre pour obtenir une hauteur de 30 cm.

  • Installation des boules de graisse :

Face au déclin de la population et de la diversité d’oiseaux dans nos villes et nos campagnes, les aider à se nourrir en cette période hivernale est un joli geste écologique qui permet d’augmenter leurs chances de survie. Il est donc essentiel  de leur procurer de quoi se nourrir.

Les boules de graisse pour les oiseaux confectionnées à la séance précédente sont installées dans les arbres, à différentes hauteurs sur les feuillages et sur les mangeoires, à l’abri des prédateurs.

 

Janvier 2020 :  Fabrication de gîtes pour les insectes pollinisateurs.

Accueillir les petites bêtes dans son jardin permet de respecter la biodiversité.            Pour y parvenir, nous avons construit des refuges à insectes pollinisateurs avec du matériel de récupération ( boîtes de conserve).

Les abeilles et les guêpes solitaires contribuent à la pollinisation des fleurs, arbres fruitiers, légumes… Menacées par l’urbanisation et les pesticides, les abeilles pollinisatrices recherchent des jardins fleuris et peu ou pas traités chimiquement.

Les abeilles solitaires, actives entre mars et septembre, déposent leurs œufs dans des tiges creuses. Les guêpes solitaires jouent un rôle important dans la lutte biologique, et peuvent se nourrir, selon les espèces, de pucerons, puces, araignées…

Matériel nécessaire:

  • tiges creuses sèches ( type renouée du japon, phragmite)
  • tiges pleines sèches (sureau )
  • un sécateur, une scie
  • une grosse boîte de conserve propre et sèche de 12 cm de hauteur
  • de l’argile naturelle

En période de taille, il faut conserver les branchages. Le mieux est d’avoir des tiges de différents diamètres (entre 2 et 12 mm) afin d’accueillir des insectes de toutes les tailles. Les tiges doivent être plus petites que la hauteur de la boîte (1 cm) afin d’être protégées des intempéries.

Une couche épaisse d’argile placée au fond de la boîte, permet de boucher les tiges d’un côté. Si les tiges ont déjà des nœuds, ils doivent être placés au fond de la boîte.

Les tiges creuses sont appréciées par les guêpes, les abeilles solitaires et les osmies.     Les tiges pleines dites à moëlle sont appréciées par les syrphes.

Joli résultat! Les éco-citoyens en herbe sont fiers de leur travail ! 🙂

Les 5 refuges seront placés prochainement dans l’hôtel à insectes.

 

Janvier 2020 :  Fabrication de petits hôtels à insectes.

 L’hôtel à insectes sert de refuge (en cas d’intempéries et lors des hivers rigoureux), de lieu de reproduction et constitue une source de nourriture pour nos insectes.

Ce dispositif attirera les coccinelles, les syrphes, les papillons, les abeilles solitaires, les chrysopes et bien d’autres insectes encore.

Dimension : 20X10X35 cm

Matériel nécessaire :

Planches de sapin non traitées d’une largeur de 10 cm environ

Grillage afin de maintenir le matériel en place (pommes de pin, paille , tiges ..)

Des fagots de bambous ou de branches à tiges creuses fermées à une extrémité qui attireront les abeilles solitaires et les syrphes qui pourront y pondre leurs œufs.

Des pommes de pin qui attireront les coccinelles (dont les larves mangent les pucerons)

De la paille qui servira de refuge aux perce-oreilles (friands de pucerons) et aux syrphes (dont les larves mangent les pucerons)

Des copeaux de bois pour les animaux xylophages

L’hôtel sera placé contre un arbre (surtout pas de clous ou de vis qui blesserait l’arbre), orienté sud-est (endroit ensoleillé et abrité des vents dominants et de la pluie).

1ère étape : Assembler les planches et les visser

Les apprentis bricoleurs sont fiers de leur travail.

2 ème étape: Appliquer une couche d’huile de lin

Pour protéger l’hôtel à insectes, plusieurs couches d’huile de lin seront appliquées. Cette opération sera à renouveler chaque année pour maintenir l’hôtel à insectes en bon état.

Joli résultat , 3 refuges ont pu être assemblés et peints à l’huile de lin.:)

3 ème étape : Garnir les refuges ( à la prochaine séance)

Les refuges à insectes seront installés dès cette fin d’hiver pour être occupés aux premiers jours du printemps.

La séance a été ponctuée de parties de Birdlab : Mésanges charbonnières, mésanges bleues, pies bavardes et rouge gorge étaient au RDV!

 

Février 2020 Garnissage des refuges à insectes et lasure à l’huile de lin

Pommes de pin, paille, copeaux de bois, fagots de bambous et de phragmites sont utilisés pour garnir les 3 refuges.

 

joli résultat!

 

Les graines d’écocitoyens  sont fiers du résultat ! 🙂

Avant de les installer à l ‘extérieur, il faudra  appliquer une seconde couche d’huile de lin afin de nourrir le bois et de le protéger de l’humidité. L’huile de lin est 100% naturelle, une fois sèche elle devient un film protecteur capable de protéger le bois.

Les nichoirs et abreuvoirs fabriqués l’an dernier sont aussi lasurés à l’huile de lin pour protéger le bois.

Plusieurs parties de birdlab. Chardonnerets élégants, mésanges bleues et charbonnières, pies bavardes et rouge gorge étaient au RDV!

 

  • Mars 2019:  Chantier participatif  « plantation de fruitiers » au verger conservatoire de la ferme du zoo

C’est avec beaucoup de joie, que nous avons participé au chantier participatif  « plantation de fruitiers » au sein du verger conservatoire de la ferme du Zoo à Maubeuge, en partenariat avec ENRx ( espaces naturels régionaux) et le CRRG (centre de ressources de recherche génétique) propriétaire du verger. Ce sont 18 arbres fruitiers morts qui ont été remplacés .

Le verger conservatoire collectionne les variétés fruitières anciennes de l’Avesnois, environ 700 espèces différentes. On y trouve des arbres en haute tige : pommiers, poiriers, cerisiers, pruniers. Il a été créé afin de permettre la préservation génétique de ce patrimoine végétal unique.

Au verger conservatoire de la ferme du Zoo, on trouve 70 espèces différentes de cerisiers, 60 espèces différentes de poiriers et 60 espèces différentes de pruniers. Les pommiers se trouvent au verger conservatoire du Quesnoy.

 

Après avoir écouté attentivement les explications données par Guillaume Bruneaux, du Centre régional des ressources génétiques de Villeneuve d’Ascq (rôle du CRRG , variétés anciennes de fruitiers, reconnaissance des espèces …) les élèves ont pu planter par groupe, 5 arbres fruitiers ( 4 poiriers et 1 cerisier)  sous une météo clémente.                    M. Lagoet de la ville de Maubeuge nous a accompagné dans cette activité.

Au travail ….

Variétés anciennes  plantées :

4 poiriers:  dont Saint-Mathieu  et Soldat laboureur

1 cerisier: Bigarreau

Une très belle activité en faveur de la biodiversité qui s’est déroulée dans la joie et la bonne humeur malgré un sol bien trempé !Les bottes étaient indispensables ! 😊

  • Mars 2019:  Défi nature pendant le confinement 
En cette période de confinement , le lien avec la nature apparait encore plus essentiel, indispensable pour se ressourcer.
 Un défi sur le thème  » Nature vue de mon jardin  » ou « Nature vue de ma  fenêtre «  si vous n ‘ avez de jardin. Le principe est simple prendre une photo de la nature ( plantes, animaux , paysages…) A vos marques , prêt photographiez !

 

Voici le lien pour voir l ‘ensemble des photos

https://fr.padlet.com/ywajssn57t/dfxc57i9sv0g

Après un vote c’est la photo n ° 2  » Punaise » qui l ’emporte ! Bravo à Lihana et à tous les participants !

punaise Lihana
Punaise ( photo de Lihana). Bravo !